Et si on parlait de la fin de vie ?

Avec la campagne lancée hier, le ministère de la santé veut provoquer un « déclic ». Il veut notamment inciter les Français à rédiger des directives anticipées, un objectif difficile à atteindre car il se heurte aux réticences à envisager le moment de sa mort.

Vu sur La Croix : pour lire la suite rendez-vous ici.

Ce contenu a été publié dans Patients. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.